PetitsTout&GrandsRiens

Absence

Juste pour vous dire que je suis en plein déménagement et que le bas débit c'est pas fait pour les pressée de la vie comme moi...
On se revoit donc début de semaine prochaine.

Bises

SiU

claiRe

Ce Matin...

Parce que j'avais envie de profiter des derniers rayons de soleil de la saison je suis allée marcher dans cette campagne qui m'est si familière mais que je ne côtoie que très peu.
Ce matin j'ai emprunté ce chemin que je connaissais autrefois comme ma poche mais que j'ai eu du mal à retrouver lors de mes dernières ballades champêtres. J'ai réalisé qu'il y avait des endroits par lesquels je n'étais pas passé depuis près de 20 ans (alors que j'avais 5 ans...).
Je me suis même remémorée une photo que j'avais faite alors que j'avais plus ou moins 14 ans (y'a donc... 11 ans, c'est ça ) avec mon amie d'enfance.

Et parce que j'avais envie de m'improviser l'espace de cette escapade, photographe en herbe, je me suis équipée de mon compac tout pourri et ai pris quelques clichés histoire de dire... Comme ça, comme si je savais faire.
Alors je vous en livre une... ou peut être deux...

 

Bonne journée.

La nouveauté du jour !!!

Cliquez et Voyez !!!

...

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Conclusion hative...

Ce midi j'ai vu Philippe STARCK aux infos.
En dehors du fait qu'il fait partie de la liste des personnes que j'admire pour diverses raisons, il m'a donné la clé aux barrières de mon imagination.
Ce mec, blindé de talent ne regarde pas la télé, n'écoute pas la radio, ne va pas au ciné et a une imagination sans fin.

Est ce là la solution ???

Tu Ne Tromperas Point !!!

D’après Aldo Naouri, pédiatre auteur d'"Adultères", ce sont les premiers instants dans les bras de notre mère qui nous « conditionnent » à l’adultère :

« Chacun porte en soi la trace ineffaçable d’un plaisir considérable, éprouvé dans les premiers mois de sa vie, quand, dans les bras maternels, il se sentait pleinement vivant, au point de se croire immortel. Si l’enfant n’est pas frustré assez tôt par sa mère, il va nourrir indéfiniment ce sentiment exalté d’immortalité, n’ayant de cesse que d’en retrouver le plaisir... De fait, il fera que courir d’illusion en illusion ». 

En gros, plus une mère est câline, moins elle laisse la place au père, plus elle nous pousse à devenir adultère. « Nous tombons dans la nécessité du fantasme adultérin chaque fois que l’autre se comporte comme une mère avec nous, et vice versa. Le mieux, pour conserver son partenaire, n’est pas de répondre à tous ses besoins, mais de lui faire ressentir le manque de soi ! ». En ce qui me concerne, je trouve dans cette théorie des explications à certains de mes échecs affectifs... Et une réponse à : "pourquoi, lorsque l'autre est trop gentil, je le jette" ???

J’aime cette notion d’ « Illusion ».

Etre attiré(e), avoir envie, être amoureux (se)... A quel moment sait-on que ce n’est plus une illusion et qu’il s’agit d’un sentiment qui tend vers la construction et non l’accomplissement.

Je n’ai jamais eu la réponse en ce qui me concerne. Longtemps je me suis laissée bercée par mes illusions. Je ne dis pas qu’aujourd’hui je ne rencontre plus ces ILLUSIONS mais je les gère différemment. Lorsqu’on accepte que l’ego prend une place prépondérante dans nos rapports avec l’autre, on se trompe déjà moins quant à la nature réelle de nos attirances. Je pousserai même un peu plus loin... Et si le « couple » qu’on l’on forme était d’ores et déjà basé sur cette illusion... Je ne dis pas que c’est systématique, mais que malheureusement ça pourrait être le cas.

Aldo Naouri dénonce l’adultère comme une erreur d’analyse de ses propres pulsions. Celles que l’on ressent pour l’autre, celui qui nous attire en dehors de notre couple.
« ...Le travail de recherche de nous-même que nous effectuons avec notre partenaire est tellement difficile que nous sommes souvent entraînés par la pensée à le radicaliser, à le décliner en plusieurs « autres ».

Parce que nous sommes issus d’une génération d’insatisfaits dans une société où la « Liberté » est une conception dénuée de sens réel tant on en use et abuse, ne sachant plus exactement à quel moment il faut prendre l’Autre en considération, nous en oublions certains fondements pour la réalisation de nos fantasmes. Nous tendons de plus en plus vers la facilité sous couvert d'une soit disant lutte contre l'hypocrisie de nos ancêtres.

On pourrait trouver mille et une raisons socio-psycho-anthropomachinchose à ce sujet de discorde. Les hommes ont leur théorie, les femmes la leur, les trompeurs se posent en victimes, les trompés, idem... Qui a raison qui à tort ??? Je n'ai pas la prétention d'avoir la réponse, mais j'ai mon avis sur la question.

Je vous laisse argumenter sur ce point, si vous le souhaitez. Le débat, s'il a débat, aura lieu dans les comments. A vos claviers et n'ayez pas peur des mots...

 

 

Pauvres Victimes...

Cliquez sur l'image

Mais qui sont les vraies victimes ???
Ceux/Celles pour qui la tentation est trop forte ou Ceux/Celles qui ne comprennent pas les raisons qui ont poussées l'autre ailleurs ???
Ca c'est du débat - Je n'ai pas encore lu l'article accompagnant ces illustrations et je pense qu'après lecture, je reviendrai vous en faire mon résumé...

Un truc de Dingue...

Et qui me laisse sans mot... Juste deux trois pour vous dire que j'ai eu la chance de clôturer cette semaine musicale avec les accords de dingues d'un fêlé du jazz manouche. Biréli Lagrène a sévi hier soir dans le petit théâtre de Rambouillet accompagné de sa guitare et de l'âme de Django. Ses trois musiciens étaient bien à ses côtés, loin d'être effacé par ce monstre aux 6 cordes, parfaitement présents, chacun arborant un sourire qui en disait long sur la complicité qui les lie.

Le mien de sourire, est resté accroché entre l’oreille droite et l’oreille gauche durant tout le concert et bien après.

Merci Messieurs !

Vibrant !!!

Hier soir j'avais rendez-vous sur la péniche El Alamein, un petit coin de paradis au coeur de Paris. Un vrai plaisir des yeux et des oreilles. C'est la voix de Florent Vintrigner qui nous a balladée de la Hongrie à Panam en passant par le palier de ses voisins, les bras des filles, le coeur des unes, le lit des autres... Ces textes, cette musique qui  parle à mon âme de petite fille de tzigane. Aujourd'hui, il ne reste que le violon de mon grand père et l'attachement de ma mère à cette culture qu'elle m'a transmise. Mais d'autres sont là pour m'en faire découvrir toutes les richesses.

Florent Vintrigner vous le connaissez tous (ou presque... et si ce n'est pas le cas, il va falloir vous y mettre...). Il est le chanteur de... de........ Allez, un p'tit effort... Pfffffffff  -->ClickForHelp<--- Eh oui !
Si vous ne connaissez pas, courrez découvrir ce charmant poëte à la voix éraillée ; il vous transportera dans son univers fait de profondes légèretés, de chansons d'humour, vous narrant l'histoire d'hommes au sang chaud, de femmes aux chaudes manières... Sur des airs de bohêmes,  festifs et envoutants.

Moi ce p'tit gars, il me fait vibrer.

Un moment privilégié

Hier soir j'ai assisté, au même tître qu'une quarantaine de privilégiés, invités pour l'occasion, à une "répétition en publique" de "Debout Sur Le Zinc"... Un peu particulier comme ambiance. Imaginez une salle de concert avec quarante fans en délire. D'autant qu'en guise de répet' on a eu le droit à un concert en bonne et dûe forme. Enfin, presque. Les notes d'humour, les lachages verbaux et gestuels, le petit tripatouillage de bidon des uns (la gêne il parrait), les blagues téléphonées des autres (Tiens, t'es à Trappes, Nico... / Bravo Fred, non franchement).

Après la répet', ce qui m'a particulièrement plu, ce sont les échanges qu'on a pu avoir, quelques verres de rosé ingurgités, autour des textes à double ou triple sens  et de constater que, même au sein du groupe, chacun a sa façon de voir, d'entendre les mots des autres. J'ai apprécié la franchise de l'un d'entre eux avouant simplement qu'il n'aimait pas "Anita" une de ces chansons au texte si lourd, empreint de tant de gravité, l'histoire d'un homme amoureux témoin des conséquences de l'inceste (enfin, ça c'est MON interprétation),  interprété si légèrement par Christophe, légèreté rimant avec cynisme... J'aime cette forme de détachement face à la pesanteur de certaines situations.

Encore un grand merci à eux et vivement le 6 novembre au Bataclan...